Finnish pupils' perceptions of health education as a school subject

摘要

Only a few countries have introduced health education (HE) as a stand-alone school subject. In Finland every pupil in basic education grades 7-9 takes three obligatory courses in HE. This study investigated Finnish pupils' perceptions of the teaching and learning of HE. It also explored how school- and family-related background variables are associated with these perceptions. Nationally representative data were obtained from a 2010 school-based study on Health Behaviour in School-aged Children (HBSC). A total of 4262 pupils from 7th and 9th grades (13 and 15 years old) responded anonymously to the questionnaire. Logistic regression analysis was performed to identify the associations between perceptions of HE and school- and family-related background variables. The majority of the pupils had positive perceptions of HE. In terms of their own learning, girls' perceptions were more positive than boys': 86% of 13- and 15-year-old girls agreed that HE classes had taught them to think about the advantages and disadvantages of various health behaviours, whereas only 79% of boys shared this opinion. School engagement had the strongest association with perceptions of HE: the more positive the attitudes towards school, the more positive were the perceptions of HE. Older girls perceived their learning and their participation in class discussions more positively than younger ones, and older boys were more critical of the teaching than younger ones. The pupils' educational aspirations were not associated with their perceptions of HE, and perceived family affluence was associated only with girls' perceptions of participation in HE classes. The pupils' feedback on HE was positive and encouraging. There is a demand for the subject in society, and HE seems to have the potential to augment young people's positive attitudes towards health issues, and to enhance their health literacy.%Seuls quelques pays ont intégré l'éducation pour la santé (ES) à leur programme scolaire comme matière à part entière. En Finlande, tous les élèves âgés de 13 à 15 ans doivent suivre trois cours obligatoires d'éducation pour la santé. Cette étude a examiné les perceptions qu'avaient les élèves finnois de l'enseignement et de l'apprentissage de l'éducation pour la santé. Elle a également exploré la manière dont les variables liées au contexte scolaire ou familial étaient associées à ces perceptions. Des données représentatives à l'échelle nationale ont été obtenues à partir d'une étude réalisée en milieu scolaire en 2010 sur le comportement des enfants en âge scolaire par rapport à la santé, le Health Behaviour in School-aged Children (HBSC). Un total de 4.262 élèves, âgés de 13 à 15 ans (de la quatrième à la seconde), a répondu à un questionnaire de façon anonyme. Une analyse de régression logistique a été réalisée afin d'identifier les associations entre les perceptions de l'éducation pour la santé, et les variables liées au contexte scolaire et familial. La majorité de ces élèves avaient des perceptions positives de l'éducation pour la santé. En termes d'apprentissage personnel, les perceptions des filles étaient davantage positives que celles des garçons : 86% des filles âgées de 13 à 15 ans s'accordaient pour dire que les cours d'éducation pour la santé leur avaient appris à réfléchir aux avantages et aux inconvénients de différents comportements en matière de santé, tandis que seuls 79% des garçons partageaient cet avis. L'engagement scolaire présentait l'association la plus forte avec les perceptions de l'éducation pour la santé : plus les comportements étaient positifs vis-à-vis de l'école, plus les perceptions de l'éducation pour la santé étaient elles aussi positives. Les filles plus âgées percevaient leur apprentissage et leur participation aux discussions de classe de façon plus positive que les plus jeunes, et les garçons plus âgés étaient plus critiques envers l'enseignement dispensé que les plus jeunes. On n'a pas trouvé de lien entre les aspirations éducatives des élèves et leurs perceptions de l'éducation pour la santé, et seules les filles associaient le niveau de vie familial perçu à leur participation aux cours d'éducation pour la santé. Les avis des élèves sur l'éducation pour la santé étaient positifs et encourageants. Il existe une demande pour ce sujet dans la société, et l'éducation pour la santé semble avoir le potentiel d'accroître les comportements positifs des jeunes par rapport aux questions de santé, et de favoriser leur niveau de connaissances en santé.