La filière jeunes bovins italienne parie sur la concentration des opérateurs pour reprendre pied. Cette restructuration pourrait faire des vagues jusqu'en France, son fournisseur historique de broutards.Des semis de mais qui lèvent dans de bonnes conditions et une récolte d'ensilage d'herbe qui bat son plein. Malgré la sérénité apparente qui régnait dans la plaine du Po fin avril, les engraisseurs s'inquiètent. " Nous perdons tous entre 80 et 120 ? par jeune bovin, souligne Luca Bellini, installé sur 20 hectares en Vénétie. Les cours chutent anormalement depuis deux mois. La crise financière pèse sur le pouvoir d'achat des Italiens et plombe leur consommation de viande rouge. "
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