Àtous points de vue, le Monte-Carlo et le rallye restent une histoire d'hommes (et de quelques femmes aussi). Le destin de la discipline et de son plus brillant joyau a ainsi dangereusement basculé au début des années 2000. Président de la FIA à l'époque, Max Mosley accordait à peu près autant d'importance au rallye qu'à une course de midgets dans les Midlands. Pour lui, le seul sport automobile digne de ce nom était la Formule 1. Plus universel dans son approche - question de vécu et de culture - Jean Todt, successeur de Mosley depuis fin 2009, a eu le courage de s'attaquer à un vaste chantier. En premier lieu, redonner plus de lustre et d'exposition aux monuments du sport en dehors de la FI. Le Rallye Monte-Carlo arrivait évidemment en tête de série. Sorti du championnat WRC en 2009, en vertu d'une règle d'alternance imbécile-ment appliquée, il végétait depuis dans la "ligue 2" du rallye, en IRC (Intercontinental Rally Challenge).
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