Nous sommes heureux de constater 1'intérêt grandissant pour les adultes dyslexiques dans notre pays, ii reste cependant encore beaucoup à faire. Nous devons considérer, d'une part, les adultes qui savent qu'ils sont dyslexiques, part, les adultes qui savent qu'ils sont dyslexiques, scolarité et qu'ils ont été suivis en orthophonie, et, d'autre part, les adultes dont la dyslexie n'a pas été reconnue et qui méritent d'être détectés, car ils souffrent de cette méconnaissance. Tous ont besoin de recevoir des conseils répondant aux exigences de leur vie d'adulte.
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