«Sandro s'est développé très rapidement. Peut-être même trop vite : quand on est débordé, à un moment donné, cela a un coût induit, on négocie moins bien. La crise pourrait être salvatrice : elle va nous encourager à ralentir un peu le rythme pour tout remettre au carré plus tôt que prévu.» Frédéric Biousse, directeur général et actionnaire de la marque-enseigne parisienne de mode féminine depuis octobre 2008, ne se laisse pas contaminer par la morosité ambiante.
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