Litterature commentee

摘要

Des signaux sont emis lors d'une seance d'entramement physique. La repetition de ceux-ci peut conduire, a la longue, a modifier l'expression de certains genes musculaires et autres, c'est-a-dire a des adaptations qui vont permettre une augmentation de la performance physique. Certains de ces signaux peuvent etre metaboliques (ADP/ATP...). Dans cette etude, Hansen et al., font l'hypothese que realiser une seance d'entramement en endurance alors que le taux de gly-cogene musculaire est bas genere des signaux donc un effet de l'entrainement plus marque. Dans le but de verifier cette hypothese, les sujets entrainent une de leur jambe deux fois par jour (2 x 1 h a 75 % de la puissance maximale aerobie) et ceci tous les deux jours (2/2) ; alors que l'autre jambe est entramee une fois par jour et tous les jours (1/1). Ceci est repete pendant dix semaines. Les deux jambes realisent donc la meme quantite d'entramement. Les resultats indiquent les differences suivantes, apres dix semaines, entre les deux types d'entramement. La concentration de glycogene musculaire du muscle vastus later alls, avant la 2~e seance d'entramement, est plus faible dans la condition 2/2 vs 1/1. Le temps limite a 90 % de la puissance maximale aerobie est deux fois plus long dans la condition 2/2. De plus, l'activite de la citrate synthase du muscle vastus lateralis augmente plus dans la condition 2/2. En conclusion, bien que realiser ponctuellement une performance avec un faible taux de glycogene musculaire puisse l'ecourter, cette etude indique qu'il y a des avantages, a long terme, a s'entrainer dans cette condition metabolique.