L'industrie porcine québécoise doit offrir une plus grande flexibilité pour; faire face à un marché qui évolue de plus en plus rapidement. La raison en est fort simple; elle n'est pas compétitive face à ses adversaires canadiens et internationaux. Le directeur général de duBreton, Vincent Breton, et le vice-président aux ventes d'Olymel, Richard Davies, en ont long à dire sur la situation de l'industrie du porc au Québec. oeuvrant dans deux entreprises compétitrices, M. Breton et Daviessont toutefois sur la même longueur d'onde : le Québec est mal outillé pour s'adapter rapidement au marché de plus en plus changeant.
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