AUX CULTURES DE CHEZNOUS, on récolte trois millions de poireaux chaque année. Auparavant, environ le quart de la production était déclassée, car elle ne répondait pas aux critères esthétiques de qualité, dit Louis-Marie Jutras, copropriétaire de l'entreprise maraichère de Sainte-Bri-gitte-des-Saults. Nous voulions trouver un moyen de la valoriser. Ainsi, depuis 1999, les poireaux bossus ou trop petits sont tranchés et ensachés, et on les retrouve dans le rayon des fruits et légumes de la plupart des supermarchés.
展开▼