Un projet de recherche sur quatre ans permettra de retirer du marché ontarien les hybrides de mais les plus vulnérables aux toxines et de pouvoir appliquer un fongicide selon des prédictions météorologiques. En 2006, la vomitoxine (DON, déoxynivalénol) était très répandue en Ontario. Tellement répandue qu'une étude effectuée sur 2029 échantillons de mais par les chercheurs Art Schaafsma et Victor Limay-Rios, du campus Rid-getown de l'Université de Guelph, a démontré que 83,4 % avaient des niveaux de toxines variant de 0,5 à 54 ppm. La concentration moyenne de 4,8 ppm excédait de plusieurs fois les niveaux recommandés de tolérance maximale admissible pour les porcs, les veaux et les animaux laitiers en lactation, soit 1 ppm.
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