Investigation To Determine Whether Delayed Toxicity Can Be Used To Predict Genotoxicity In Vitro

摘要

Induction of chromosome damage in mammalian cells by chemicals generally requires DNA replication and toxicity is, therefore, delayed. We, therefore, investigated whether delayed cytotoxicity can be used to predict genotoxicity. Dividing Chinese Hamster Lung (CHL) cells cultured in 96 well microtitre plates, were exposed for 3 hours to Mitomycin C (MMC), Cyclophosphamide (CPH), Methylmethane sulfonate (MMS), 2-Nitrofluorene (2-NF), Dimethyl sulfoxide (DMSO), Sodium dodecyl sulfate (SDS), 9-Aminoacridine (9-AA) or 3-Methylcholanthrene (3-MC). Cytotoxicity was assessed indirectly at intervals from 0 to 72 hours after the end of exposure, using MTT uptake and reduction. The toxicity profiles of cells treated with the known genotoxins, MMC, CPA, MMS, or 9-AA, changed as time passed, while the toxicity profiles of cells treated with the nongenotoxins, DMSO or SDS remained similar throughout. However, 2-NF and 3-MC were relatively non-toxic and any effects were too subtle for the test system to detect. These results are preliminary yet this approach appears to be suitable for detection of substances that damage chromosomes (mutagens) and are evidently toxic.%L'infliction des altérations chromosomiques dans les cellules de mammifères par des produits chimiques exige généralement la réplication de l'ADN, d'où la toxicité est habituellement retardée. Nous avons donc examiné si la cytotoxicité retardée peut être utilisée pour prédire la génotoxicité. Des cellules en division du poumon du hamster chinois (CHL), cultivées dans de 96 loges des plaques microtitres, ont été exposées pendant 3 heures à la mitomycine C (MMC), au cyclophosphamide (CPH), au sulfonate de méthylméthane (SMM), au 2-nitrofluorène (2-NF), au sulfoxyde diméthylique (SODM), au sulfate dodécylique de sodium (SDS), à 9-aminoacridine (9-AA) ou au 3-méthylcholanthrène (3-MC). La cytotoxicité a été indirectement évaluée à des intervalles de 0 à 72 heures après la fin de l'exposition, en notant l'assimilation et la réduction de MTT. Les profils de toxicité des cellules traitées avec les génotoxines connues, le MMC, le CPH, le MMS, ou le 9-AA, changeaient au fur et à mesure que le temps s'écoulait, tandis que les profils de toxicité des cellules traitées avec les produits non génotoxiques, le SODM ou le SDS sont restées partout pareilles. Cependant, le 2-NF et le 3-MC étaient relativement non toxiques et tous les effets étaient infimes pour être détectés par le système d'essai. Même si ces résultats sont préliminaires, cette approche semble s'apprêter à la détection des substances qui altèrent des chromosomes (agents mutagènes) et qui sont évidemment toxiques.