Pour ce quarante-huitième Salon du Bourget, celui de son centenaire, la fête n'aura pas été au rendez-vous. La faute à la conjoncture morose et à l'absence de grandes vedettes comme le F-22, le 787 ou PA400M. Même la météo s'est mise de la partie, accentuant la morosité d'une inauguration déjà marquée par le drame du vol AF447, la baisse continue du trafic aérien et les incertitudes qu'elle fait planer sur l'industrie aéronautique.rnPourtant, cette dernière s'est déplacée en masse au Bourget. Au point que le nombre d'exposants et de nations représentées constitue un record, démontrant une fois de plus que le Salon français reste le plus important - et le plus ancien - du monde.
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