Avec la mise en place de la réforme sucrière décidée par Bruxelles et menée par les sucreries, cinq usines sucrières vont fermer leurs portes avec a la clé l'abandon de surfaces de betteraves par les planteurs. Un manque a gagner important pour les ETA, toujours un peu sonnées par une décision assez abrupte. Si les planteurs peuvent facilement se lancer dans d'autres productions, ce n'est pas le cas pour les entrepreneurs dont le matériel est spécifique.
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