L'année 2004 a montré une fois encore que l'allure générale, des campagnes de primeurs est largement influencée par la situation des campagnes de conservation précédentes, Mais cette tendance générale ne préjuge pas du succès commercial del'une ou l'autre des variétés ou de chacune des régions pri-meuristes. " L'expérience de ces dernières années montre qu'il est de plus en plus difficile de prévoir le déroulement d'une campagne de primeur", note Yvon Kerleguer, responsable de lasection nationale primeur, " L'an dernier, des variétés comme Starlette en précoce et surtout Charlotte en juin-juillet ont bien tiré leur épingle du jeu. Lannée précédente, c'était Rubis oui avait connu une bonne conjoncture".
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