Lorsque je rejoins Kaboul pour y assumer les fonctions de chef d'état-major de la Force internationale d'assistance et de sécurité (Fias), fin octobre 2011, cinquante pays sont parties prenantes de la coalition - certains de façon symbolique - et près de 150 000 hommes sont sur le terrain, sans oublier quelque 220 000 « contractors ». Mon mandat s'inscrit précisément dans les décisions qui viennent d'être prises lors du Sommet de Lisbonne, réaffirmées et complétées depuis lors par les différentes autorités politiques nationales. Nous sommes entrés en « transition ».
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