Automatisierter Kurzfristhandel

摘要

La part des quantités d'électricité négociées à court terme ne cesse d'augmenter. Ce volume croissant s'explique par plusieurs facteurs : en Allemagne, les marchés day-ahead et in-tra-day ont grossi significativement avec l'introduction de la commercialisation directe obligatoire des énergies renouvelables volatiles telles que l'éolien et le solaire. On parle actuellement d'introduire la commercialisation directe pour le marché suisse. De nouveaux acteurs du marché rassemblent de la flexibilité et mettent également cette dernière à disposition à court terme. Pour de nombreux acteurs, il devient intéressant de participer au marché infra-journalier en raison de cette liquidité croissante, associée aux prix volatiles. En Suisse, il y a déjà suffisamment de liquidité (>100 MW) sur de longues durées hors des heures de bureau pour négocier de petites quantités. Pendant la journée et le weekend, il y a assez d'acteurs actifs sur le marché. Plus l'activité de négoce est proche de la clôture du négoce du produit concerné, plus elle augmente (et avec elle la liquidité). La mise à jour constante de ses propres offres prend du temps, car le négoce a lieu 24 heures sur 24. Jusqu'à présent, elle intéressait donc surtout les entreprises disposant d'un service par équipes ou service de piquet. De nouvelles solutions d'automation pourraient maintenant rendre attractif ce négoce pour des entreprises plus petites aussi. Actuellement, il existe environ dix presta- taires proposant dans leur gamme de produits des solutions de logiciel pour les différents groupes d'utilisateurs. Les fonctionnalités résultent en général des compétences-clés des fabricants de logiciels: premièrement, les prestataires de logiciels internationaux, dont les produits informatiques sont plutôt utilisés dans les grandes maisons de négoce et sont traditionnellement adaptés pour l'automation et la gestion des risques. Deuxièmement, des fabricants européens, renommés, de systèmes de gestion électronique des données et de gestion du portefeuille, qui s'adressent surtout aux acteurs de taille moyenne sur le marché, qui gèrent et optimisent des centrales nucléaires et des positions commerciales. Troisième groupe : les prestataires qui ont plutôt le statut de start-up et qui ont développé les outils précisément pour cet élément du négoce. Les systèmes productifs utilisés quotidiennement sont proposés actuellement par quatre fournisseurs, selon les propres recherches de la société Energy Partner GmbH pour l'accès à EPEX Spot. L'introduction d'un outil de négoce automatisé (« autotrader ») ne pourra certes totalement remplacer un service par équipes que dans de très rares cas. Mais la possibilité de générer des revenus supplémentaires et de réduire les erreurs est tout à fait judicieuse. Les coûts de licence et d'exploitation d'un tel outil, correspondant à peu près aux coûts d'un ETP, sont intéressants.