Slow postmeal walking reduces postprandial glycemia in middle-aged women

摘要

Postprandial blood glucose concentration is a risk factor for the development of cardiovascular diseases and dia-nbetes, even at states well below hyperglycemic levels. A previous study has shown that postmeal exercise of moderate in-ntensity blunts the blood glucose increase after carbohydrate intake (Høstmark et al. Prev. Med. 42(5): 369–371). Thenobjective of the present study was to examine whether even postmeal slow walking would have a similar effect. Fourteennhealthy women aged >50 years participated in 3 experiments in a random crossover design: after a carbohydrate-rich meal,neither they were seated (control experiment) or they performed slow postmeal walking for 15 min (W15) or 40 minn(W40). Blood glucose concentration was determined prior to the meal (fasting), and at 11 time points throughout each ex-nperiment. The W15 trial lowered the blood glucose values during walking and delayed the peak blood glucose value (p =n0.003). In W40, the postmeal blood glucose increase during walking was blunted, the peak glucose value was delayed (pn= 0.001), and the incremental area under the 2-h blood glucose curve (IAUC) was reduced (p = 0.014). There was a nega-ntive relationship between IAUC and walking time (p = 0.016). The individual reducing effect of walking on IAUC corre-nlated strongly with IAUC on the control day (p < 0.001). We conclude that even slow postmeal walking can reduce thenblood glucose response to a carbohydrate-rich meal. The magnitude of this effect seems to be related to the duration ofnwalking and to the magnitude of the postprandial blood glucose response when resting after a carbohydrate-rich meal.%Qu’importe le niveau d’hyperglyce ´mie, la concentration sanguine postprandiale de glucose est un facteur denrisque de de ´veloppement des maladies cardiovasculaires et du diabe `te. D’apre `s une e ´tude re ´cente, un exercice d’intensite ´nmode ´re ´e pratique ´ apre `s un repas limite l’augmentation de la concentration sanguine de glucose conse ´cutive a ` l’apport densucres (Høstmark et al. Prev. Med. 42(5) : 369–371). La pre ´sente e ´tude se propose de ve ´rifier si une marche lente prati-nque ´e apre `s un repas entraı ˆne un effet semblable. Quatorze femmes en bonne sante ´ et a ˆge ´es de plus de 50 ans participent a `ntrois expe ´riences selon un sche ´ma expe ´rimental en chasse ´-croise ´; apre `s un repas riche en sucres, on les invite a ` s’asseoirn(contro ˆle) ou a ` marcher lentement durant 15 min (W15) ou 40 min (W40). On e ´value la concentration de glucose avant lenrepas (a ` jeun) et a ` 11 moments donne ´s dans chacune des expe ´riences. Dans la condition W15, la concentration de glucosendiminue au cours de la marche et son pic est retarde ´ (p = 0,003). Dans la condition W40, l’augmentation de la concentra-ntion de glucose au cours de la marche est atte ´nue ´e et son pic est retarde ´ (p = 0,001); on observe aussi une diminution denla surface incre ´mentielle sous la courbe (IAUC) de concentration du glucose sur une pe ´riode de 2 h (p = 0,014). De plus,non note une corre ´lation ne ´gative entre l’IAUC et la dure ´e de l’exercice de marche (p = 0,016). L’effet atte ´nuant de la mar-nche sur l’IAUC est corre ´le ´ e ´troitement avec la valeur de l’IAUC enregistre ´e lors de la journe ´e de contro ˆle (p < 0,001). Ennconclusion, me ˆme une marche lente pratique ´e apre `s un repas riche en sucres peut diminuer l’augmentation de la concentra-ntion de glucose associe ´ea ` ce repas. L’ampleur de l’effet semble associe ´ea ` la dure ´e de l’exercice de marche et a ` l’impor-ntance de la re ´ponse du glucose sanguin lors de la pe ´riode de repos suivant le repas riche en sucres.