Sans AESA, point de salut a l'export. Thaïes et Dassault l'avaient bien compris en faisant financer par l'Etat en 2006 une "feuille de route" d'environ 400 millions d'euros pour l'augmentation des capacités du Rafale, et dont une bonne moitié était allouée à la mise en production d'une version à balayage électronique actif (AESA) du radar RBE2. Une capacité presque mature (un premier RBE2-AESA sera livré à l'armée de l'Air en septembre) qui, à n'en pas douter, a contribué au choix du client indien face au reste de la compétition européenne.
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