En variant davantage les origines et grace à l'introduction des caractères fonctionnels, les unités de sélection évoluent doucement vers la production de taureaux mieux adaptés à la demande des éleveurs. On se souvient d'une mé-morable sortied'index profondément marquée par le taureau américain Mascot C'était en 1998. Il comptait onze fils parmi les vingt meil-leurs Isu francais. En conséquence, les éleveurs n'avaient guère le choix La majorité des nouveaux taureaux proposés présentait un profil tmifor me : potentiel laitier élevé, index IB négatif; parfois fortement, index TP positif et morphologie très moyenne. La lecon de ces excès a progressivement été tirée, Aujourd'hui, les unités de sélection veillent à maintenir un certain niveau de variabilité génétique et l'on se retrouve donc avec des profils de taureaux un peu plus variés. Ainsi, en 2002. le meilleur père à taureau de la deuxième sortie d'index, Bellwood, ne comptait que cinq fils dans le top vingtEt Ion trouvait dix pères différents dans ce lot.
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