Al'approche de l'échéancier de ces éditoriaux, il se dessine une tension palpable car que je désire présenter un dialogue sérieux. En fait, je crois que c'est l'une des taches les plus difficiles que doit entreprendre le président. Nous devonstrouver un message pertinent pour les vétérinaires du Canada. Même s'il existe une multitude d'enjeux, il n'est pas facile de choisir le bon. J'ai récemment eu le privilège de représenter l'ACMV lors d'une conférence internationale de l'OIE (Organisation mondiale de la santé animale) sur la résistance antimicrobienne. Pourquoi l'ACMV devrait-elle participer à des représentations et à des organisations internationales? Lors d'une conversation avec un collègue membre de l'ACMV au début de mon mandat au sein de l'exécutif de l'ACMV, nous avons discuté si l'ACMV devrait se concentrer uniquement sur la gestion des enjeux nationaux. A cette époque, j'étais plutot d'accord. En vérité, nous vivons tous des contraintes financières. Dans unmonde idéal offrant des ressources illimitées, il y aurait une multitude d'activités auxquelles l'ACMV pourrait participer pour le perfectionnement de tous les vétérinaires canadiens. En réalité, le Conseil de l'ACMV doit établir des priorités pour les activités de l'ACMV afin de tenir compte des trois priorités de l'ACMV : le bien-être des animaux, les enjeux nationaux et une carrière prospère, une vie équilibrée. Donc, quelle est la place de la représentation internationale dans toutcela? Devrions-nous participer aux activités à l'échelle internationale?
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