Bien s?r, il y a Voltaire et son ? j'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé ?. Une ironie qu'on s'en voudrait de réduire à un seul afflux d'endorphines ou de sé-rotonine ! Rétrospectivement, son dynamisme paradoxal a de quoi réjouir les nouveaux tenants de la ? psychologie positive ?, toujours à la recherche des meilleures méthodes pour faire notre bonheur. Prenez cet hédoniste de Dan Gilbert, de l'université Harvard. Grace à lui - riez un bon coup, ?a ne peut pas faire de mal ! - nous pouvons désormais suivre en direct notre niveau dudit bonheur sur i-Phone (lire p. 58).
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