Martin Giurfa, directeur du Centre de recherches sur la cognilion animale (CRCA) à Toulouse (1), exulte. Sur son écran, Stevanus Rio Tedjakumala, un doctorant du laboratoire, vient de lui montrer des ramifications violettes, bien parallèles, qui pénètrent dans une matière vert vif. « Ce sont des neurones impliqués dans les mécanismes de la punition, ceux qui foui réagira un stimulus désagréable. On voit là, sur l'écran, la praire que certains de ces neurones aboutissent à la région du cerveau responsable de la vision. Nous cherchions à le démontrer depuis longtemps », explique Martin Giurfa avec enthousiasme. Mais le plus étonnant, dans cette manip', c'est que le cerveau vert vif n'est pas celui d'un humain. C'est celui d'une abeille scruté par imagerie calcique, une technologie qui permet d'observer au plus près les fibres nerveuses (2). Au ('RCA, qui étudie les processus cognitifs chez les animaux, faire de l'imagerie cérébrale de l'abeille est devenu une routine. Car ce petit insecte est une véritable bête de labo. Unique en son genre.
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机译：图卢兹（1）的动物认知研究中心（CRCA）主任Martin Giurfa狂喜。在他的屏幕上，实验室的博士生Stevanus Rio Tedjakumala刚刚向他显示了非常平行的紫色分支，这些分支渗透到了明亮的绿色材料中。 “这些是参与惩罚机制的神经元，那些被解雇的人将对令人不快的刺激做出反应。我们可以在屏幕上看到这些神经元中的一些最终进入负责视觉的大脑区域。长期以来，我们一直在寻求证明这一点，”马丁·朱尔法（Martin Giurfa）热情地解释道。但是，这种操作最令人惊讶的是，鲜绿色的大脑不是人类的大脑。它是通过钙成像检查的蜜蜂，这项技术使我们能够更紧密地观察神经纤维（2）。在研究动物认知过程的RCA中，蜜蜂的大脑成像已成为常规，因为这种小昆虫是真正的实验动物，具有独特的种类。
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