C'est sans doute l'un des rares gestes poétiques que nous partageons encore avec nos plus lointains ancêtres. L'été est là, la nuit tombée, douce, propice, nous renversons la tête et nous laissons absorber par l'immensité scintillante de la voûte céleste. Si petits face à l'infini. Mais émerveillés. Étrangement apaisés. Il y a dans la mécanique cosmique, dans ce ballet perpétuel des astres, dans ces moments privilégiés où la Lune nous offre sa face, où les planètes s'alignent, où les météores s'allument, quelque chose de magique. Car ces phénomènes lointains nous redonnent notre place dans l'Univers.
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