Le tribunal de commerce de Paris vient d'ouvrir «une procédure de sauvegarde au bénéfice de la société Vet-soca», qui gère l'enseigne Un jour ailleurs. Une suite presque logique pour cette chaîne de mode s'adressant aux femmes de 50 ans, qui était entrée en procédure de conciliation avec ses créanciers en février dernier. «Or, il n'y a pas eu d'accord. Il a donc fallu utiliser cette option de la sauvegarde, qui permet de se mettre en situation d'attente sans aller au redressement judiciaire», explique le président du directoire, Jean-Pierre Charpentier. S'il admet que ce statut n'est pas très agréable pour une entreprise et ses créanciers, le dirigeant continue d'affirmer que «tout cela n'est pas préoccupant». «Nous gardons la libre gestion de notre entreprise. Cela permet juste d'avoir du temps pour discuter avec les créanciers.
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