Le 20 octobre dernier, Jean-Luc Tisseuil, délégué général de la laquo; Fédération franccedil;aise de la récupération pour la gestion industrielle et le recyclage raquo;, a profité du salon Pollutec pour communiquer à la presse un bulletin de santé de son organisation. Il avait le sourire car la profession se porte beaucoup mieux que les années précédentes ; elle a bénéficié peut-être davantage que d'autres secteurs de l'embellie générale de l'économie. Rien d'étonnant puisque le métier de recy-cleur se situe entre deux activités : la démolition (de produits usagés) et la consommation de matières premières et, en période de forte activité, on consomme davantage (donc on jette davantage) et le besoin en matières premières (vierge et secondaire) s'accroicirc;t. Ainsi, si l'activité industrielle a crucirc; de 4 en France au 1er semestre, le chiffre d'affaires de la profession a augmenté de 46 ; de même, le cours des matières premières a connu une forte hausse : +52 pour la pacirc;te à papier, +44 pour les métaux non ferreux.
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