La présence dans un effluent urbain d'un composé susceptible d'inhiber les micro-organismes d'une station d'épuration à boues activées peut entraicirc;ner un dysfonctionnement durable de cette station et compromettre l'objectif de conformité auquel les nouvelles réglementations l'astreignent. Au moyen des indications émanant simultanément de deux capteurs, l'un respirométrique, l'autre spectrophotométrique, il est possible de définir un paramètre opératoire dont l'évolution s'avère reproductible chaque jour, ce qui caractérise le fonctionnement normal de la station d'épuration. En présence des toxiques testés (mercure II, chrome VI, white spirit), une nette discontinuité dans l'évolution de ce paramètre apparaicirc;t, pouvant inciter l'exploitant à dévier le flux incriminé vers un stockage. La biomasse sera ainsi épargnée.
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