L'impression numérique arrive au stade de l'activité industrielle. La présence du fournisseur de contrôle des couleurs Efi est d'ailleurs révélatrice de l'importance du jet d'encre prise sur le marché. Que ce soit chez le japonais Mimaki ou l'italien Reggiani, les vitesses de 1.000 mètres par heure sont atteintes, grâce à la multiplication des têtes d'impression. Des vitesses de 600 à 800 mètres, jusqu'à neuf couleurs et 3,4 mètres de large, sont également courantes chez le japonais Konika Minolta ou l'italien Durst. Evidemment, le tarif des machines augmente en conséquence. En outre, les progrès au niveau des encres pigmentaires (qui n'entrent pas dans la fibre) ouvrent de nouvelles perspectives. «Celles-ci ne permettent pas encore d'envisager la réalisation de dessins très fins et les vitesses demeurent limitées, mais on constate un net progrès dans les possibilités offertes. Je suis certain que la révolution numérique ne fait que commencer.
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