Tout comme le soleil, qui s'est fait rare et terne, la consommation de mode féminine n'a pas brillé en juin-juillet. Et elle a même manqué singulièrement de souffle avec une infime progression des chiffres d'affaires de 1% en moyenne dans les magasins du secteur, en dépit des soldes entamés avec huit jours d'avance par rapport à l'année précédente. Mais ces soldes sont bien précisément l'une des principales causes des médiocres performances réalisées par les distributeurs, puisque la campagne de déstockage a moins bien fonctionné que d'habitude. Beaucoup de distributeurs interrogés attribuent cet essoufflement aux soldes flottants et aux trop nombreuses promotions qui ne cessent de se télescoper et finissent par désorienter la consommatrice.
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