Réalisée par le cabinet de recherche économique Frontier Economics, l'étude commanditée par l'Eccia met en évidence le caractère exceptionnel et contre-cyclique du luxe, qui englobe des secteurs aussi variés que les «produits personnels» (mode, accessoires et cosmétiques), l'automobile, l'alimentation, les meubles, l'hôtellerie et les loisirs ou encore... les yachts. Un ensemble où les produits personnels pèsent un bon poids, avec 173 milliards d'€ de ventes mondiales en 2010, ce qui en fait le deuxième poste de dépenses dans le luxe, derrière l'automobile (245 milliards d'€).
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