Les groupes français du luxe se montrent résilients face à la pandémie. Certes, leurs résultats semestriels ont été très impactés par la crise sanitaire, mais tous ont pu et su réagir. Ils ont sauvé leur rentabilité tout en continuant d'investir pour mieux s'adapter à la situation. Le chiffre d'affaires de Lvmh a ainsi décroché de 27% à 18,4 milliards d'€ au premier semestre. Ceux de Kering et d'Hermès se sont respectivement repliés de 30%, à 5,8 milliards d'€, et de 25% à 2,48 milliards d'€ (à taux de change constants). Le résultat net du leader mondial du luxe a fondu plus drastiquement (-84%, à 522 millions d'€) que celui de Kering (-53% à 272 millions d'€) et celui d'Hermès (-56%, à 335 millions d'€).
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