Le partage des biens de famille au décès d'un parent suscite parfois de vifs affrontements. A l'heure de faire les comptes, les enfants qui ont travaillé sur l'exploitation familiale sans contrepartie financière réclament un salaire différé. Cette dette pèse sur l'actif successoral, au point parfois, de réduire à néant la masse à partager. Cette déconvenue peut parfois être évitée en désintéressant le bénéficiaire de la créance du vivant de l'exploitant.
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