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>The assessment of elephant numbers and occupance by means of droppings counts in the Kasungu National Park, Malawi
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The assessment of elephant numbers and occupance by means of droppings counts in the Kasungu National Park, Malawi
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机译:The assessment of elephant numbers and occupance by means of droppings counts in the Kasungu National Park, Malawi
SummaryIn Africa the usual method of obtaining information on numbers and occupance patterns of large herbivores is aerial survey. In many areas this method is unsatisfactory because of the density of woodland, uneven topography and uneven distribution of animals. Most of the conservation areas in Malawi show one or more of these features.For this reason an estimate of numbers and occupance of elephant in the Kasungu National Park, Malawi, was made by stratified regular sample counts of elephant droppings, The results obtained are compared with those from independent sources.This method is labour intensive and time consuming and the survey was more expensive than a single aerial census; it was, however, cheaper than the series of surveys that would have been necessary to produce comparable data. This method is considered useful in small areas (i.e., less than 3000 km2) especially where conditions are unfavourable for aerial census.RésuméEn Afrique, la méthode usuelle pour obtenir des informations sur le nombre et les modes de répartition des grands herbivores est le contrôe aCrien. Dans de nombreuses régions, cette méthode est insatisfaisante à cause de la densité forestière, la topo‐graphie irrégulière et l'inégale distribution des animaux. La plupart des zones de conservation au Malawi présentent un ou plusieurs de ces inconvénients. C'est pourquoi une estimation du nombre et de la répartition des éléphants au Parc National de Kasungu (Malawi) a été réalisé par comptages‐échantillons réguliers de leurs excréments. Les résultats obtenus sont comparés à ceux provenant d'une source différente. Cette méthode demande un travail intensif, un temps considérable et l'opération fut plus coûteuse qu'un seul comptage aérien; elle fut cependant moim coûteuse que la série de survols aériens qui aurait été nécessaire pour obtenir des résultats comparables. Cette méthode parait utile pour de petites surfaces (moins de 300 km2), particulièrement là ou les conditions
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