Résumé1o. Le tableau 2 résume ce que l'on sait sur la présence ďacétylcholine et de cholinestérase chez les Invertébrés, ainsi que sur la sensibilityé. des tissus àľacétylcholine et aux poisons qui paralysent ľaction de cette substance.2o. La présence de nerfs cholinergiques est démontrée chez les Annélides (Armicolu, Aphrodite, Lumbricus, Hirudo), et les Siponculiens (Sipuncuh), chez les 1 Iolot huries, chez un seul mollusque (Venus mercenaria).3o. Ľexistence de nerfs cholinergiques est inconcevable chez les Cœntérés.4o. Chez les Arthropodes (Crustacés, Insectes et Arachnomorphes) tout porte à croire que les nerfs ne transmettent pas ľ'excitation par ľintermédiaire ľacétykholine.5o. Chez leo Mollusques, àľexception deVenus mercenaria, tous, les essais de démonstration de nerfs cholinergiques ont échoué.6o. Ľexistence de nerfs adrénergiques chez les Annélides est très probable, mais non encore certaine; de tels nerfs existent vraisemblablement chez les Céphalopodes et chez ľaplysie.7o. Le cmur et les tissus des Invertébrés manifestent pour ľadrénaline et les amines syrnpathicomimétiques une sensibi
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