Avec huit usines de production et huit plates-formes logistiques réunies en onze sites dans toute la France, Panavi pourrait avoir atteint un palier, voire un plafond, dans sa croissance. René Ruello, son fondateur, s'inscrit en faux contre cette hypothèse. Ne serait-ce qu'en raison de la structure même du marché de la boulangerie-viennoiserie industrielle: « C'est le dernier secteur alimentaire encore couvert à 70% par les artisans », rappelle-t-il. D'ailleurs, il prévoit une croissance du chiffre d'affaires de son entreprise de 720 millions de francs en 1997 à 780 millions en 1998.
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