Imposer ses produits et sa marque dans l''Hexagone, ce pourrait être le rêve de tout industriel non français, la consécration culinaire autant que commerciale. Nombre de PME plus ou moins importantes tentent régulièrement de faire une incursion, d''abord via un importateur puis éventuellement en se dotant d''une filiale de commercialisation. Ces expériences, qui fleurissent notamment à l''occasion du Sial, se soldent bien souvent par un échec, ou du moins par un simple « succès d''estime ». Les goûts et habitudes des autochtones ne sont pas toujours bien compris ni surtout, leurs mœurs commerciales. Difficile de faire découvrir à un lointain patron d''origine anglo-saxonne les mystères du droit de référencement...
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