La technologie de dépôt de nanoparticules de la start-up toulousaine intéresse de nombreux marchés, notamment l'aéronautique, le textile, la biologie et la lutte contre la contrefaçon. Les nanotechnologies font fantasmer, sans qu'on sache toujours très bien ce qui se cache derrière ce terme générique dont le principal mérite n'est souvent que de sonner encore plus high-tech que « microtechnologies ». Les nanoparticules possèdent pourtant des propriétés très intéressantes, notamment en électronique, dès lors qu'on arrive à en maîtriser l'industrialisation. C'est le point de départ de la start-up Nanolike, fondée par Samuel Béhar et Jean-Jacques Bois à partir de travaux menés par le Laboratoire de physique et chimie des nano-objets, unité mixte de recherche IRSAMC/UPS/CNRS/ INSA Toulouse. Lauréat du concours national de création d'entreprise innovante du ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche en partenariat avec OSEO et du prix Norbert Ségard en 2011, la société s'est rapidement installée dans la pépinière d'entreprises CEEI Théogone de Ramon-ville (banlieue toulousaine).
展开▼
